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  • Le Clavier bien tempéré (livre 1 et 2) de Jean-Sébastien Bach, au piano, par Jérôme Granjon.
    Comme le dit le pianiste, c'est en écoutant l'intégralité de l'oeuvre, les deux livres écrits à plus de 20 ans de distance, que celle-ci peut s'apprécier pleinement.

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    Sortie chez Anima-Records

    29 Juin 2021
  • Troisième épisode de la série « A classical voyage with… » réalisé par le Centre National de la Musique pour les réseaux sociaux de "What the France".

    Pianiste/compositeur Thomas Enhco vient de sortir un nouvel album, Bach Mirror, paru chez Sony Classical.

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    What the France
    Le site du CNM

    29 Juin 2021
  • Sommet absolu de l’art polyphonique, les motets de Bach exultent d’une allégresse qui pourrait surprendre lorsqu’on connait leur destination liturgique la plus fréquente : des services funèbres. À l’invitation du Motet BWV 225, Raphaël Pichon et son équipe nous entraînent dans cette interprétation jubilatoire, véritable hymne à la danse habilement mis en regard de la grande tradition du motet allemand. Le travail collectif effectué par Pygmalion tant sur le plan du style que celui du texte, rend pleinement justice à cette exubérance chorale.

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    Sélection Concertclassic, les meilleures vidéos de musique classique

     

    19 Octobre 2020
  • Noh-Bach, programme imaginé autour du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach par Frédérick Haas avec le danseur de théâtre Nō Masato Matsuura. « Ce détour par l’Orient, explique Frédérick Haas, permet de prendre du recul, de réagir aux stéréotypes de la musique baroque d’aujourd’hui, à cette récente tradition d’interprétation européenne tout juste retrouvée alors que celle du théâtre Nō est ininterrompue depuis huit cents ans. »

    29 Septembre 2020
  • Vers 1846, à l’attention de Pauline Chazaren, une élève qui lui avait été envoyée par Liszt, Frédéric Chopin entreprit d’annoter le Livre I du Clavier Bien Tempéré de Bach – un devancier auquel le Polonais vouait on le sait un véritable culte. Après avoir longtemps dormi dans une collection privée, ce document passionnant paraît aux Editions Symétrie grâce à l’initiative de la Société Française de Musicologie. Grand spécialiste de Chopin, Jean-Jacques Eigeldinger a rédigé le commentaire d’un facsimile qui souligne à quel point la musique de Bach demeurait vivante pour l’auteur des Mazurkas. Il présente ici cette entreprise éditoriale, avec en contrepoint des extraits interprétés par Nathanël Gouin.

    14 Septembre 2020
  • Ancienne élève de Roland Pidoux au CNSM de Paris et de Gary Hoffman à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, lauréate de la Fondation d’Entreprise Banque Populaire, Julie Sévilla-Fraysse interprète l’Allemande de la Suite n° 1 BWV 1007 de Bach. 
    S’agissant du répertoire pour violoncelle seul, rappelons que l’interprète a signé une version pleine de caractère de l’immense Sonate op. 8 de Zoltán Kodály, à découvrir au sein d’un programme intitulé «Folklore » (Klarthe), où elle interprète par ailleurs des pages de Dvorak, Popper et le rare et magnifique Pohádka de Janáček avec la complicité d’Antoine de Grolée au piano.
     
     
    Musique en confinement
    10 Mai 2020
  • Après Ingrid Perruche dans les Merveilles de l’Opéra de C.-F. Panard, au tour de Laurent Naouri de répondre à l’appel des Lunaisiens et d’aborder un autre poète et chansonnier français : Adam Billaut (1602-1662), surnommé le «Virgile au rabot ». C’est en 1644 que Maître Adam – « fameux poëte et fameux menuisier » selon Corneille, qui lui a consacré un sonnet – écrivit « Aussitôt que la lumière ». Cette page, selon Arnaud Marzorati, « incarne toute la noblesse de la grande chanson à boire ; répertoire bachique qui nous révèle que grands vins et grandes voix ont toujours eu le plaisir de se réunir pour partager la joie de l'ivresse artistique. Une ivresse modérée, savante qui se retrouvera également dans le Caveau français du XVIIIe siècle, où des chansonniers comme Crébillon, Rameau ou Casanova entonneront à leur tour des airs sérieux et précieux à la gloire de la "Dive Bouteille". Enfin, tous les grands opéras s'abreuvent du plaisir de la "chanson à boire" : de Lully au Faust de Gounod, on retrouve dans nos plus belles pages du répertoire lyrique l'esprit et la saveur de l'œuvre d'Adam Billaut. »

    Ce cycle de vidéos est disponible sur la page Facebook des Lunaisiens, où Arnaud Marzorati propose par ailleurs pendant tout le confinement une petite chronique sur la riche histoire de la chanson.

    Plus d’infos sur les Lunaisiens

    Page Facebook des Lunaisiens

    Musique en confinement

    05 Mai 2020
  • Le séjour de Bach à la cour de Köthen (de la fin 1717 à avril 1723) fait figure d’âge d’or pour la musique instrumentale. C’est selon toute vraisemblance vers 1722 qu’il écrivit son unique ouvrage pour flûte solo : la Partita en la mineur.
    Transcripteur très actif, d’auteurs italiens en particulier, Bach aura ensuite été beaucoup arrangé, pour piano en particulier, au XIXe et au début du XXe siècle (par Liszt et Busoni entre autres). Plus près de nous, Gustav Leonhardt n’a pas résisté au plaisir d’adapter pour le clavecin la fluide Allemande introductive du BWV 1013, qu’Olivier Fortin nous offre de son confinement bourguignon.

    Parmi les derniers enregistrements d’Olivier Fortin (chez Alpha Classics), rappelons une belle anthologie François Couperin et un original et dépaysant programme Routes du café, avec les voix de Hana Blazikova, Reinoud Van Mechelen, Lisandro Abadie et l’ensemble Masques. Toujours au côté de celui-ci, l'interprète a récemment signé un programme de concertos à deux clavecins de Bach (BWV 1060, 1061 et 1062) et Pergolesi avec la complicité de son collègue Emmanuel Frankenberg.

    Plus d’infos sur Olivier Fortin et l’Ensemble Masques

    Musique en confinement

    12 Avril 2020
  • Jean-Sébastien Bach (1685-1750) mourut en laissant inachevé son Art de la Fugue, partition  mystérieuse – et œuvre ouverte que l’auteur ne destine expressément à aucun instrument ou formation – et c’est l’un de ses plus géniaux fils musiciens, Carl Philipp Emanuel, qui se chargea de la première édition en 1751.
    Kenneth Weiss interprète le Contrepoint 1, duquel procède la totalité du BWV 1080. « La grandeur est la plan naturel de Bach, sa dimension ordinaire », écrivait André Suarès ...
    Plus d’infos sur Kenneth Weiss
    Musique en confinement
     

    08 Avril 2020

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