Agenda
VINGT ANS DÉJÀ ! » CONCERT ANNIVERSAIRE DE L’ORGUE AUBERTIN ET DU TITULARIAT DE BENJAMIN ALARD
Futurs concerts
Distribution :
Benjamin Alard - Orgue
Programme :
Jean-Sébastien Bach (1685 - 1750)
- Sonate en ré majeur BWV 963 « con thema all’Imitatio Gallina Cuccu »
Pablo Bruna (1611-1679)
- Tiento sobre la letanía de la Virgen
François Couperin (1668 - 1733)
- Le rossignol en amour
- La Linote effarouchée
- Les fauvettes plaintives
- Le carillon de Cithère
- Le petit-rien
Extraits du 14e ordre, transcriptions pour orgue de B. Alard
Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764)
- Musette en rondeau (extraite des Indes Galantes)
- Le rappel des oiseaux
- Entrée de Polymnie (extraite des Boréades)
Transcriptions pour orgue de B. Alard
Camille Saint-Saëns (1835 - 1921)
- Le cygne (extrait du Carnaval des animaux)
Transcription pour orgue d’Alexandre Guilmant
Jean-Philippe Rameau
- Chaconne (extraite des Indes Galantes)
Transcription pour orgue de B. Alard
Olivier Messiaen (1908 - 1992)
- La subtilité des Corps glorieux (extraite des Corps glorieux)
Jean-Sébastien Bach
- Allemande en la mineur BWV 1013 (extraite de la Partita pour flûte seule)
Transcription pour orgue de B. Alard
Olivier Messiaen
- Les eaux de la grâce (extraite des Corps glorieux)
Jean-Sébastien Bach
- « Christ unser Herr, zum Jordan kam » BWV 684
- Contrapunctus 4 & 14 « inachevé » BWV 1080, 14 (extrait de l’Art de la fugue)
- Sonate en ré majeur BWV 963 « con thema all’Imitatio Gallina Cuccu »
Pablo Bruna (1611-1679)
- Tiento sobre la letanía de la Virgen
François Couperin (1668 - 1733)
- Le rossignol en amour
- La Linote effarouchée
- Les fauvettes plaintives
- Le carillon de Cithère
- Le petit-rien
Extraits du 14e ordre, transcriptions pour orgue de B. Alard
Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764)
- Musette en rondeau (extraite des Indes Galantes)
- Le rappel des oiseaux
- Entrée de Polymnie (extraite des Boréades)
Transcriptions pour orgue de B. Alard
Camille Saint-Saëns (1835 - 1921)
- Le cygne (extrait du Carnaval des animaux)
Transcription pour orgue d’Alexandre Guilmant
Jean-Philippe Rameau
- Chaconne (extraite des Indes Galantes)
Transcription pour orgue de B. Alard
Olivier Messiaen (1908 - 1992)
- La subtilité des Corps glorieux (extraite des Corps glorieux)
Jean-Sébastien Bach
- Allemande en la mineur BWV 1013 (extraite de la Partita pour flûte seule)
Transcription pour orgue de B. Alard
Olivier Messiaen
- Les eaux de la grâce (extraite des Corps glorieux)
Jean-Sébastien Bach
- « Christ unser Herr, zum Jordan kam » BWV 684
- Contrapunctus 4 & 14 « inachevé » BWV 1080, 14 (extrait de l’Art de la fugue)
Infos complémentaires :
Oui, 20 ans déjà !
Voilà 20 ans que je suis arrivé à cette tribune en même temps que Bernard Aubertin terminait cet instrument que je ne me lasse pas de jouer et de découvrir à chaque instant. Je me rends compte après l’avoir retrouvé il y a un an à peine, à quel point sa compagnie m’avait manqué.
Heureux concours de circonstance, il est rare pour un jeune organiste d’hériter d’un instrument qui corresponde, par chance, exactement au répertoire qui est le sien depuis le début de sa carrière, à savoir celui issu du monde germanique et de Jean-Sébastien Bach en premier lieu.
Et j’ajouterai que cet instrument m’offre, également, la possibilité de m’essayer à tout autre chose.
Ce que je fais pour ce concert-anniversaire qui me tient tant à coeur.
À savoir Couperin ou encore Rameau dont j’ai transcrit plusieurs pièces diverses, ce dernier n’ayant jamais rien écrit pour l’orgue. Ou Saint-Saëns et son Carnaval que j’ai eu le bonheur de rejouer récemment. La mise en regard de Messiaen et de Bach est un hommage à mon maître, Louis Thiry, qui nous a quittés il y a six ans déjà, le 27 juin 2019.
Ce concert-anniversaire est pour moi l’occasion de marquer mon attachement et ma reconnaissance à tous ceux qui m’accompagnent pour mettre en valeur cet instrument exceptionnel. Certains se reconnaîtront parmi les membres des Amis de l’orgue, fidèles paroissiens mélomanes et amis de passage qui oeuvrèrent notamment pour sa construction. Et je ne veux pas oublier ceux qui ne sont malheureusement plus parmi nous.
Le voeu que je voudrais former, à l’occasion de cet anniversaire, c’est que l’orgue – un instrument impressionnant et mystérieux à la fois, qui enveloppe l’organiste et le cache du regard du public - trouve une place à part entière dans le monde de la musique, dans le monde des concerts. Que le rayonnement de l’orgue s’accroisse et amène au concert un public toujours plus large. Et que son répertoire, déjà vaste, soit en perpétuelle mutation.
Benjamin Alard
Voilà 20 ans que je suis arrivé à cette tribune en même temps que Bernard Aubertin terminait cet instrument que je ne me lasse pas de jouer et de découvrir à chaque instant. Je me rends compte après l’avoir retrouvé il y a un an à peine, à quel point sa compagnie m’avait manqué.
Heureux concours de circonstance, il est rare pour un jeune organiste d’hériter d’un instrument qui corresponde, par chance, exactement au répertoire qui est le sien depuis le début de sa carrière, à savoir celui issu du monde germanique et de Jean-Sébastien Bach en premier lieu.
Et j’ajouterai que cet instrument m’offre, également, la possibilité de m’essayer à tout autre chose.
Ce que je fais pour ce concert-anniversaire qui me tient tant à coeur.
À savoir Couperin ou encore Rameau dont j’ai transcrit plusieurs pièces diverses, ce dernier n’ayant jamais rien écrit pour l’orgue. Ou Saint-Saëns et son Carnaval que j’ai eu le bonheur de rejouer récemment. La mise en regard de Messiaen et de Bach est un hommage à mon maître, Louis Thiry, qui nous a quittés il y a six ans déjà, le 27 juin 2019.
Ce concert-anniversaire est pour moi l’occasion de marquer mon attachement et ma reconnaissance à tous ceux qui m’accompagnent pour mettre en valeur cet instrument exceptionnel. Certains se reconnaîtront parmi les membres des Amis de l’orgue, fidèles paroissiens mélomanes et amis de passage qui oeuvrèrent notamment pour sa construction. Et je ne veux pas oublier ceux qui ne sont malheureusement plus parmi nous.
Le voeu que je voudrais former, à l’occasion de cet anniversaire, c’est que l’orgue – un instrument impressionnant et mystérieux à la fois, qui enveloppe l’organiste et le cache du regard du public - trouve une place à part entière dans le monde de la musique, dans le monde des concerts. Que le rayonnement de l’orgue s’accroisse et amène au concert un public toujours plus large. Et que son répertoire, déjà vaste, soit en perpétuelle mutation.
Benjamin Alard