Agenda
Stabat Mater de Pergolèse
Futurs concerts
Distribution :
Caroline Mute, soprano
Christophe Baska, contre-ténor
Les Nouveaux Caractères
Sébastien d'Hérin, direction
Christophe Baska, contre-ténor
Les Nouveaux Caractères
Sébastien d'Hérin, direction
Programme :
Johann Sebastian Bach
Sinfonie allegro – Concerto en ré mineur pour clavier, BWV 1052 / BWV 146
« Bereite dir, Jesu, noch itzo die Bahn », air de soprano, Cantate BWV 147
Adagio – Concerto en ré mineur pour clavier BWV 1052 / BWV 188
Allegro assai – Concerto en ré mineur pour clavier BWV 1052 / BWV 188
“Auf meinen lieben Gott” choral cantate bwv188
Giovanni Baptista Pergolesi
Stabat Mater pour deux voix solistes et cordes
Sinfonie allegro – Concerto en ré mineur pour clavier, BWV 1052 / BWV 146
« Bereite dir, Jesu, noch itzo die Bahn », air de soprano, Cantate BWV 147
Adagio – Concerto en ré mineur pour clavier BWV 1052 / BWV 188
Allegro assai – Concerto en ré mineur pour clavier BWV 1052 / BWV 188
“Auf meinen lieben Gott” choral cantate bwv188
Giovanni Baptista Pergolesi
Stabat Mater pour deux voix solistes et cordes
Infos complémentaires :
« 1736 à la demande de la confrérie dei Cavalieri della Vergine dei dolori… »
Œuvre sacrée sans cesse traversée par le genre de l’opéra – genre profane par excellence –, ce motet décrit les souffrances de la Vierge devant son fils crucifié et traduit une émotion extrême : il ne s’agit pas du chant du cygne d’un artiste aux portes de la mort, mais bien d’un chant d’humanisme sincère et plein d’espoir, la musique poignante voire déchirante et le texte portant également un message de compassion et d’empathie envers tous ceux qui souffrent.
C’est dans un monastère des environs de Naples que Pergolèse, rongé par la phtisie à seulement 26 ans, compose sur son lit de mort les dernières notes de son chef-d’œuvre.
Le Stabat Mater rencontra le succès dès sa création. Il fit l’admiration de Jean-Sébastien Bach qui lui emprunte certains thèmes pour son Psaume 51 « Tilge, Höchster », mais aussi de Bellini qui dira de ce Stabat qu’il est un « divin poème de la douleur, ému et profond ».
Œuvre sacrée sans cesse traversée par le genre de l’opéra – genre profane par excellence –, ce motet décrit les souffrances de la Vierge devant son fils crucifié et traduit une émotion extrême : il ne s’agit pas du chant du cygne d’un artiste aux portes de la mort, mais bien d’un chant d’humanisme sincère et plein d’espoir, la musique poignante voire déchirante et le texte portant également un message de compassion et d’empathie envers tous ceux qui souffrent.
C’est dans un monastère des environs de Naples que Pergolèse, rongé par la phtisie à seulement 26 ans, compose sur son lit de mort les dernières notes de son chef-d’œuvre.
Le Stabat Mater rencontra le succès dès sa création. Il fit l’admiration de Jean-Sébastien Bach qui lui emprunte certains thèmes pour son Psaume 51 « Tilge, Höchster », mais aussi de Bellini qui dira de ce Stabat qu’il est un « divin poème de la douleur, ému et profond ».