Agenda
MOZART Messe en ut - BRAHMS - MENDELSSOHN
Concerts passés
Distribution :
Ensemble Polyphonique de Versailles - Ensemble Vocal du Chesnay
Clara Penalva, soprano - Juliette Gauthier, mezzo - Matthieu Justine, ténor - Matthieu Heim, basse
Ensemble Instrumental Soave Sia il Vento - Direction Silvio Segantini
Clara Penalva, soprano - Juliette Gauthier, mezzo - Matthieu Justine, ténor - Matthieu Heim, basse
Ensemble Instrumental Soave Sia il Vento - Direction Silvio Segantini
Programme :
MOZART – Messe en ut KV 427 pour soli, chœur et orchestre
BRAHMS – Schicksalslied pour chœur et orchestre
MENDELSSOHN – Les Hébrides pour orchestre
BRAHMS – Schicksalslied pour chœur et orchestre
MENDELSSOHN – Les Hébrides pour orchestre
Infos complémentaires :
Tarifs : 25€ tarif plein / 20€ tarif réduit / gratuit -12 ans
Au cours de ce concert nous partagerons la tendresse et la musicalité de Mozart au "classicisme" poussé à son paroxysme , le romantisme de Mendelssohn, au style lyrique et raffiné, et la nostalgie de l'époque romantique de Brahms, à l'esthétique d'une troublante originalité, riche de magnifiques couleurs musicales et de mélodies inventives.
Éclatante affirmation de la liberté et du génie de MOZART, la Grande Messe en ut mineur fut, à sa création, condamnée pour son lyrisme et sa luxuriance, jugés trop proches de l'opéra. Nourri des influences de Bach et Haendel, ce chef-d'oeuvre inachevé constitue pourtant un sommet de la musique sacrée du maître.
Le Chant du Destin, Das Schicksalslied, fut composé par BRAHMS en 1871 sur un poème de Höderlin. C'est un triptyque qui oppose l'essence divine à l'existence humaine qui se débat dans l'obscurité, et qui ne laisse aucune place ni à l'espérance, ni à la compassion.Grâce à une orchestration brillante, Brahms crée un climat fait de tendresse, de compassion et de piété, et prouve ainsi qu'il ne partage pas la vision extrêmement pessimiste de Höderlin.
En 1829, Felix MENDELSSOHN voyage en Grande-Bretagne. Ensorcelé par le chant de la grotte de Fingal, il compose le poème symphonique Les Hébrides dans lequel il se fait peintre et joue avec les couleurs toujours changeantes de la mer
Au cours de ce concert nous partagerons la tendresse et la musicalité de Mozart au "classicisme" poussé à son paroxysme , le romantisme de Mendelssohn, au style lyrique et raffiné, et la nostalgie de l'époque romantique de Brahms, à l'esthétique d'une troublante originalité, riche de magnifiques couleurs musicales et de mélodies inventives.
Éclatante affirmation de la liberté et du génie de MOZART, la Grande Messe en ut mineur fut, à sa création, condamnée pour son lyrisme et sa luxuriance, jugés trop proches de l'opéra. Nourri des influences de Bach et Haendel, ce chef-d'oeuvre inachevé constitue pourtant un sommet de la musique sacrée du maître.
Le Chant du Destin, Das Schicksalslied, fut composé par BRAHMS en 1871 sur un poème de Höderlin. C'est un triptyque qui oppose l'essence divine à l'existence humaine qui se débat dans l'obscurité, et qui ne laisse aucune place ni à l'espérance, ni à la compassion.Grâce à une orchestration brillante, Brahms crée un climat fait de tendresse, de compassion et de piété, et prouve ainsi qu'il ne partage pas la vision extrêmement pessimiste de Höderlin.
En 1829, Felix MENDELSSOHN voyage en Grande-Bretagne. Ensorcelé par le chant de la grotte de Fingal, il compose le poème symphonique Les Hébrides dans lequel il se fait peintre et joue avec les couleurs toujours changeantes de la mer