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  • Clelia Cafiero, que l’on connaît désormais comme assistante de Lawrence Foster à l’Opéra de Marseille, est pianiste de formation et s’est montrée très active en ce domaine avant de prendre la baguette. Membre de l’Orchestre de la Scala de Milan à partir de 2013, c’est là que sa vocation pour la direction s’est affirmée. Reste que l’artiste napolitaine n’a aucunement délaissé le clavier. En janvier dernier, on a par exemple pu l’entendre à la fois soliste et cheffe du Philharmonique de Marseille dans le Concerto en sol de Ravel. Le 12 juin, entourée de solistes de l’Opéra phocéen (Da-Min Kim, Alexandre Amedro, Magalie Demesse, Xavier Chatillon, Jean-René Da Conceicao) elle interprétait le Concerto n° 2 en fa mineur de Chopin dans le Foyer de l’Opéra de Marseille. 

    30 Juin 2020
  • Musique en confinement mais à l’air libre pourtant pour Camille Thomas, comme on peut le constater avec cette vidéo haut-perchée. La violoncelliste a choisi la Danse des Esprits bienheureux de Gluck, page fameuse tirée de l’acte II d’Orphée et Eurydice, une pièce qui figure au programme du disque « Voice of Hope », enregistré avec le Brussels Philharmonic (dir. Stéphane Denève) pour DG. Sous le même label, l’interprète a précédemment signé une tonique et lumineuse version du Concerto pour violoncelle n°1 de Saint-Saëns avec l’Orchestre National de Lille mené par Alexandre Bloch.

    Julien Brocal donne ici la réplique à Camille Thomas. Ancien élève de Maria João Pires, le pianiste, après un disque Chopin (Rubicon) couronné d’un « BBC Music Magazine Award » en 2018, a livré un séduisant programme Ravel/Mompou (Rubicon).

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    05 Mai 2020
  • La création schumanienne est faite de contrastes ! C’est en 1838,  parallèlement aux Kreisleriana, partition hantée et cyclothymique, que le compositeur allemand écrivit ses Scènes d’enfants op. 15. « Des regards jetés en arrière par un homme qui prend de l’âge », a-t-il confié plus tard d’un cycle à ranger parmi les plus poétiques réalisations pianistiques de l’époque romantique. Parmi les treize morceaux du cycle, le n°7 Traumerei (Rêverie) est sans nul doute le plus fameux. Une musique d’une magique simplicité, face laquelle, disait Alban Berg, on ne peut que « s’écrier : ”Comme c’est beau ! ” » 

    Remarquée pour un très bel album « Impressions 1905 » (Ravel, Debussy & Albéniz - Paraty) (Disque de la Semaine de Concertclassic), Fanny Azzuro prépare une intégrale des Préludes de Serge Rachmaninov.

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    Musique en confinement

     

    14 Avril 2020

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