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  • La musique Franz Schubert a toujours été chère au cœur de Ferenc Vizi qui, il y a une quinzaine d’années déjà, a enregistré une belle Wanderer Fantaisie et des lieder transcrits par Liszt (1CD Satirino). Le pianiste interprète l’Impromptu en fa mineur op. 142 n°4, dernier numéro d’un recueil écrit à la toute fin de l’année 1827. Notée allegro scherzando, la pièce, par ses contrastes et ses développements inattendus – restitués avec beaucoup de vitalité ici – traduit parfaitement l’esprit libre et le goût de la fantaisie inhérents à l’ «impromptu ». 

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    Musique en confinement

     

    20 Avril 2020
  • La complicité de Nahuel Di Pierro et Alphonse Cemin et leurs affinités avec l’univers de Schubert ne sont plus à dire. On leur doit l’une une bouleversante version du Winterreise, enregistrée à l’Athénée en 2017 et publiée chez B Records (LBM 008). Confinement oblige, ils interprètent en facetime « Halt ! », le n° 3 de La Belle Meunière (1823), cycle sur des poèmes de Wilhelm Müller. « Je vois là-bas, entre les aulnes / Un moulin tout blanc / Et le fracas des roues se mêle / Au murmure de l’onde » ...

    Artiste très complet, la basse argentine fait merveille aussi dans le répertoire du tango, comme le prouve l’album « Anclao en París » (Audax Records) qu’il signé l’an dernier.

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    Musique en confinement

     

    31 Mars 2020
  • L’histoire de la Musique est pleine d’expérimentations de la facture instrumentale demeurées sans suite. Ainsi l’arpeggione, sorte de violoncelle-guitare imaginé par Johann Georg Staufer, a-t-il été oublié. Son nom le serait peut-être aussi, n’était la sonate que le luthier viennois commanda à Schubert en 1824 et qui, passée au répertoire des violoncellistes, porte son nom. A quoi ressemblait l’arpeggione ? L’instrument que Guido Balestracci tient entre ses mains vous le montre.

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    30 Mars 2020
  • Étrange destinée que celle de l’arpeggione, instrument inventé en 1823. Connu également sous le nom de « guitare d’amour », l’arpeggione est en fait une guitare munie d’un chevalet, tenu entre les genoux comme un violoncelle et joué avec un archet. L’instrument connut un certain succès durant une dizaine d’années, mais, curieusement quasi rien n’est conservé de son répertoire spécifique si ce n’est le chef-d’œuvre absolu qu’est la sonate que lui dédie Franz Schubert en 1824.
    C’est autour de cette célèbre sonate que Guido Balestracci et les musiciens de l’Amoroso ont construit une délicieuse Schubertiade, réunissant autour de l’arpeggione et du piano, la voix et les guitares qui s’approprient tout un répertoire empruntés aux Lieder du compositeur viennois.
     
     
     
    21 Janvier 2020
  • Irène Duval, violon, révélation classique de l'ADAMI. Elle interprète la transcription du Roi des Aulnes de Franz Schubert par Einrich Wilhelm Ernst.
    Captation réalisée le vendredi 2 août 2013 à l'église de Catllar dans le cadre du Festival de Prades.
    Plus d'infos sur www.adami.fr
    04 Décembre 2013
  • Dans le cadre du Festival international Piano aux Jacobins 2012, Emmanuelle Swiercz interprète Gouvy (Extraits des Vingt Sérénades pour piano), Chopin (Nocturne en ut dièse mineur opus posthume, Fantaisie-Impromptu en ut dièse mineur, op.66, Berceuse en ré bémol majeur, op.57), Schubert (Der Wanderer Gouvy) et Liszt (Sonetto 104 del Petrarca : ext. 2ème Année de Pèlerinage, Tarantella : ext. Venezia e Napoli).

    Reportage réalisé le lundi 10 septembre 2012 à St Pierre des Cuisines.

    Plus d'info sur www.pianojacobins.com

    25 Octobre 2013