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  • Interview de Denis Herlin et Cécile Quesney

    Remarquable musicien, chef d’orchestre et compositeur exigeant, Caplet était porté par l’idéal d’un art vocal et instrumental intime, parfois audacieux et très souvent inspiré par le sentiment religieux. Sa personnalité musicale, marquée par celle de Debussy, s’est développée au fil d’une carrière très dense, mais aussi discontinue, partagée entre composition et interprétation. À partir des nombreuses sources disponibles aujourd’hui, le présent volume examine les différentes étapes du parcours de Caplet et les spécificités de son œuvre envoûtante et protéiforme. Enrichies de documents inédits, dont de nouvelles lettres de Debussy, ces contributions dévoilent toutes les facettes d’une figure marquante de la musique française du début du XXe siècle.

    22 Septembre 2020
  • « Dans les mœurs, comme dans l'esprit, il tenait beaucoup du naturel simple et naïf de La Fontaine », disait Marmontel du chansonnier Charles-François Panard (1689-1765). En 1733, il écrivit Les Merveilles de l’Opéra, chanson parodique qui moque la tragédie lyrique. Ingrid Perruche la chante sur l'invitation des Lunaisiens qui proposent pendant tout le confinement à leurs amis musiciens (chanteurs et instrumentistes) d'interpréter une chanson baroque française du XVII ou XVIIIe siècle du répertoire des Lunaisiens. Ce cycle de vidéos (partagé par le CMBV #baroquecheznous) est disponible sur la page Facebook des Lunaisiens, où Arnaud Marzorati propose par ailleurs pendant tout le confinement une petite chronique sur la riche histoire de la chanson.

    Plus d’infos sur les Lunaisiens

    Page Facebook des Lunaisiens

    Plus d’infos sur Ingrid Perruche

    Musique en confinement

     

    20 Avril 2020
  • Le séjour de Bach à la cour de Köthen (de la fin 1717 à avril 1723) fait figure d’âge d’or pour la musique instrumentale. C’est selon toute vraisemblance vers 1722 qu’il écrivit son unique ouvrage pour flûte solo : la Partita en la mineur.
    Transcripteur très actif, d’auteurs italiens en particulier, Bach aura ensuite été beaucoup arrangé, pour piano en particulier, au XIXe et au début du XXe siècle (par Liszt et Busoni entre autres). Plus près de nous, Gustav Leonhardt n’a pas résisté au plaisir d’adapter pour le clavecin la fluide Allemande introductive du BWV 1013, qu’Olivier Fortin nous offre de son confinement bourguignon.

    Parmi les derniers enregistrements d’Olivier Fortin (chez Alpha Classics), rappelons une belle anthologie François Couperin et un original et dépaysant programme Routes du café, avec les voix de Hana Blazikova, Reinoud Van Mechelen, Lisandro Abadie et l’ensemble Masques. Toujours au côté de celui-ci, l'interprète a récemment signé un programme de concertos à deux clavecins de Bach (BWV 1060, 1061 et 1062) et Pergolesi avec la complicité de son collègue Emmanuel Frankenberg.

    Plus d’infos sur Olivier Fortin et l’Ensemble Masques

    Musique en confinement

    12 Avril 2020

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