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  • La morte di Lucrecia fait partie des vingt quatre cantates composées par Michel Pignolet de Montéclair entre la fin du XVIIe siècle et le début du XVIIIe siècle.
    Celle-ci traite de l'histoire de Lucrèce, épouse d'un patricien romain, violée par Tarquin, fils de Tarquin le Superbe, dernier roi de Rome, violent tyran. Lucrèce préféra mettre fin à ses jours au déshonneur.
    "Deux violons accompagnent la voix, suggérant tour à tour la violence, la résolution ou l'agonie de Lucrèce" (Anne Pichard).

    Rediffusion du concert donné par l'Ensemble Il Caravaggio dirigé par Camille Delaforge au Festival de Sablé le 29 août 2020.
    Avec Anna Reinhold (mezzo-soprano).
    Captation réalisée avec le soutien de la Caisse des Dépôts.

    Voir les autres extraits du concert

    Plus d'infos sur Il Caravaggio
    Festival de Sablé
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    28 Mars 2021
  • Akhenaton fut l’un des pharaons les plus marquants de l’Égypte ancienne. Il réussit en effet à imposer l’un des premiers monothéismes de l’histoire, faisant de Râ, le dieu soleil, la seule et unique divinité de son royaume.

    Quand le compositeur américain Philip Glass décide de consacrer plusieurs opéras à de grandes figures de l’histoire, Akhenaton s’impose à lui avec évidence. Après Einstein on the Beach (1976) et Satyagraha (1980), Aknathen vient clore avec brio cette trilogie. Utilisant des textes de l’époque, dont un poème d’Akhenaton lui-même, l’ouvrage parcourt son règne aussi brillant qu’original depuis son accession au trône après la mort de son père Aménophis III, jusqu’à sa chute. Akhnaten recèle quelques moments phares de la musique minimaliste, comme la géniale scène du couronnement !

    Nouvelle production

    Distribution
    Direction musicale : Léo Warynski
    Mise en scène et chorégraphie : Lucinda Childs
    Scénographie et costumes : Bruno De Lavenère
    Lumières : David Debrinay
    Vidéo : Étienne Guiol

    Akhnaten : Fabrice Di Falco
    Nefertiti : Julie Robard-Gendre
    Reine Tye : Patrizia Ciofi
    Horemhab : Joan Martín-Royo 
    Amon : Frédéric Diquero
    Aye : Vincent Le Texier
    Amenhotep (rôle parlé) : Lucinda Childs
    Six filles d’Akhnaten : Karine Ohanyan, Rachel Duckett, Mathilde Lemaire Vassiliki Koltouki, Annabella Ellis, Aviva Manenti 

    18 Janvier 2021
  • Après Ingrid Perruche dans les Merveilles de l’Opéra de C.-F. Panard, au tour de Laurent Naouri de répondre à l’appel des Lunaisiens et d’aborder un autre poète et chansonnier français : Adam Billaut (1602-1662), surnommé le «Virgile au rabot ». C’est en 1644 que Maître Adam – « fameux poëte et fameux menuisier » selon Corneille, qui lui a consacré un sonnet – écrivit « Aussitôt que la lumière ». Cette page, selon Arnaud Marzorati, « incarne toute la noblesse de la grande chanson à boire ; répertoire bachique qui nous révèle que grands vins et grandes voix ont toujours eu le plaisir de se réunir pour partager la joie de l'ivresse artistique. Une ivresse modérée, savante qui se retrouvera également dans le Caveau français du XVIIIe siècle, où des chansonniers comme Crébillon, Rameau ou Casanova entonneront à leur tour des airs sérieux et précieux à la gloire de la "Dive Bouteille". Enfin, tous les grands opéras s'abreuvent du plaisir de la "chanson à boire" : de Lully au Faust de Gounod, on retrouve dans nos plus belles pages du répertoire lyrique l'esprit et la saveur de l'œuvre d'Adam Billaut. »

    Ce cycle de vidéos est disponible sur la page Facebook des Lunaisiens, où Arnaud Marzorati propose par ailleurs pendant tout le confinement une petite chronique sur la riche histoire de la chanson.

    Plus d’infos sur les Lunaisiens

    Page Facebook des Lunaisiens

    Musique en confinement

    05 Mai 2020

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