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  • J'ai langui est extrait du recueil Airs sérieux et à boire (1709) de Nicolas Racot de Grandval (1676-1753), écrivain et compositeur, claveciniste. Né à Paris, Nicolas Racot de Grandval intègre une troupe de comédiens ambulants pour laquelle il écrit des divertissements et des musiques de scène. En 1695-1696, il accompagne au clavecin les divertissements et ballets donnés à Versailles.

    Il intègre la Comédie-Française comme acteur en 1729. Il est l'auteur de nombreuses comédies et de quelques tragédies, dont la plupart sont restées inédites. Il est par la suite organiste de l'église Saint-Eustache à Paris.
    (Musicologie.org)

    Avec Marie Perbost (soprano), Anna Reinhold (mezzo-soprano) et Thibault de Damas (baryton-basse).

    Rediffusion du concert donné par l'Ensemble Il Caravaggio dirigé par Camille Delaforge au Festival de Sablé le 29 août 2020.

    Captation réalisée avec le soutien de la Caisse des Dépôts.

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    Plus d'infos sur Il Caravaggio
    Festival de Sablé
    Le Projet RestonsConnectésAuClassique
     

    08 Mars 2021
  • Nommée dans la catégorie "artiste lyrique" des Révélations des Victoires de la Musique Classique 2021, la soprano Marie Oppert chante "I could have danced all night", extrait de la comédie musicale My Fair Lady de Loewe, en compagnie du trompettiste Claude Egea et Charlotte Gauthier.

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    26 Janvier 2021
  • Akhenaton fut l’un des pharaons les plus marquants de l’Égypte ancienne. Il réussit en effet à imposer l’un des premiers monothéismes de l’histoire, faisant de Râ, le dieu soleil, la seule et unique divinité de son royaume.

    Quand le compositeur américain Philip Glass décide de consacrer plusieurs opéras à de grandes figures de l’histoire, Akhenaton s’impose à lui avec évidence. Après Einstein on the Beach (1976) et Satyagraha (1980), Aknathen vient clore avec brio cette trilogie. Utilisant des textes de l’époque, dont un poème d’Akhenaton lui-même, l’ouvrage parcourt son règne aussi brillant qu’original depuis son accession au trône après la mort de son père Aménophis III, jusqu’à sa chute. Akhnaten recèle quelques moments phares de la musique minimaliste, comme la géniale scène du couronnement !

    Nouvelle production

    Distribution
    Direction musicale : Léo Warynski
    Mise en scène et chorégraphie : Lucinda Childs
    Scénographie et costumes : Bruno De Lavenère
    Lumières : David Debrinay
    Vidéo : Étienne Guiol

    Akhnaten : Fabrice Di Falco
    Nefertiti : Julie Robard-Gendre
    Reine Tye : Patrizia Ciofi
    Horemhab : Joan Martín-Royo 
    Amon : Frédéric Diquero
    Aye : Vincent Le Texier
    Amenhotep (rôle parlé) : Lucinda Childs
    Six filles d’Akhnaten : Karine Ohanyan, Rachel Duckett, Mathilde Lemaire Vassiliki Koltouki, Annabella Ellis, Aviva Manenti 

    18 Janvier 2021
  • Novencento par le Secession Orchestra sous la direction de Clément Mao-Takacs, accompagné par la soprano Marie-Laure Garnier.
    Programme consacré à la musique italienne du début du 20e siècle :
     
    Ottorino Respighi
    Trittico botticelliano
    Pietro Mascagni
    Extraits de Cavalleria Rusticana
    Luigi Dallapiccola
    Piccola Musica Notturna
    Giacomo Puccini
    Extraits de Manon Lescaut
    Alfredo Casella
    Pupazzetti
    Francesco Paolo Tosti
    Quattro Canzoni d’Amaranta
    Nino Rota
    Sonata per orchestra da camera
    18 Janvier 2021
  • La musique française réussit tout particulièrement au Quatuor Tchalik. Un an après un concert Reynaldo Hahn (compositeur auquel la formation vient de consacrer un magnifique enregistrement https://bit.ly/3pBRFUe) au Palazzetto Bru Zane, les quatre jeunes musiciens étaient de retour à Venise fin octobre pour un rendez-vous inscrit dans le cadre du Festival « Camille Saint-Saëns, l’homme-orchestre ».  Sous leurs archets inspirés, le Quatuor n° 1 (1899) – opus majeur de la littérature de quatuor au tournant du siècle – montre toute la force d’inspiration qui le sous-tend, tandis que le Quatuor n° 2 (1918), d’humeur nettement plus légère, se déploie avec élégance et esprit.

    18 Novembre 2020
  • Pour l'ouverture de la saison 2020/ 2021 de la Philharmonie de Paris avec l'Orchestre de Paris, Khatia Buniatishvili joue le Concerto n°1 de Beethoven. A la direction musicale, Marin Alsop.

    Répétition avec l'orchestre.

    26 Octobre 2020
  • Interview de Denis Herlin et Cécile Quesney

    Remarquable musicien, chef d’orchestre et compositeur exigeant, Caplet était porté par l’idéal d’un art vocal et instrumental intime, parfois audacieux et très souvent inspiré par le sentiment religieux. Sa personnalité musicale, marquée par celle de Debussy, s’est développée au fil d’une carrière très dense, mais aussi discontinue, partagée entre composition et interprétation. À partir des nombreuses sources disponibles aujourd’hui, le présent volume examine les différentes étapes du parcours de Caplet et les spécificités de son œuvre envoûtante et protéiforme. Enrichies de documents inédits, dont de nouvelles lettres de Debussy, ces contributions dévoilent toutes les facettes d’une figure marquante de la musique française du début du XXe siècle.

    22 Septembre 2020
  • Vers 1846, à l’attention de Pauline Chazaren, une élève qui lui avait été envoyée par Liszt, Frédéric Chopin entreprit d’annoter le Livre I du Clavier Bien Tempéré de Bach – un devancier auquel le Polonais vouait on le sait un véritable culte. Après avoir longtemps dormi dans une collection privée, ce document passionnant paraît aux Editions Symétrie grâce à l’initiative de la Société Française de Musicologie. Grand spécialiste de Chopin, Jean-Jacques Eigeldinger a rédigé le commentaire d’un facsimile qui souligne à quel point la musique de Bach demeurait vivante pour l’auteur des Mazurkas. Il présente ici cette entreprise éditoriale, avec en contrepoint des extraits interprétés par Nathanël Gouin.

    14 Septembre 2020
  • Directeur musical de l’Orchestre Français des Jeunes d’Île-de-France, David Molard-Soriano, à chaque programme, confronte ses instrumentistes aux partitions les plus exigeantes et formatrices. Le 24 octobre 2018, salle de l’Unesco à Paris, il les dirigeait dans La Mer de Claude Debussy. Une vision pleine de souffle et de sensualité – hautement recommandée à l’heure du déconfinement !   

    Site de l’Orchestre des Jeunes d’Île-de-France

     

    19 Mai 2020

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