Agenda
Les Premiers romantiques à Malmaison : Un piano anglais chez Joséphine
Futurs concerts
Distribution :
Pierre Girod ténor , François Henry piano wilkinson 1817
Lauréat du CNSMD de Paris puis du Pôle Sup’93, le ténor et musicologue Pierre Girod a vécu quelques années de son activité dans les chœurs allemands puis au sein d’ensembles vocaux spécialisés parisiens avant d’enseigner le chant lyrique en conservatoire. Habitué des rôles mozartiens (Tito, Ferrando, Don Basilio, Belmonte, Tamino, Vogelsang, etc.) qui conviennent idéalement à son timbre, il est souvent distribué aussi dans les ouvrages légers en raison de sa débordante vis comica. Il a créé des mélodies d’Alexandra Cherciu, Gabriel Rigaux, Elena Vassilieva et Alexandre Jamar. Le musicien est titulaire d’une thèse de doctorat avec le musicologue Hervé Lacombe à Rennes II « Les Mutations du ténor romantique : contribution à une histoire du chant français à l’époque de Gilbert Duprez (1837-1871) ».
Diplômé du CNSM de Paris en piano, accompagnement, écriture et analyse, François Henry se produit régulièrement en concert en France et à l’étranger (Italie, Japon, Allemagne, Pologne…), autant en tant que soliste qu’en tant que musicien chambriste. Passionné par l’apport des sources historiques et des répertoires méconnus, il crée l’association Pianomuses, en vue de faire vivre sa collection d’instruments du XIXe siècle, tout en défendant le répertoire contemporain avec de nombreuses créations. Titulaire du Certificat d’Aptitude, il enseigne le piano et l’accompagnement au Conservatoire de Toulouse. Le musicien détient également un diplôme de concertiste de pianoforte au CRR de Paris. Il est par ailleurs compositeur, auteur de pièces pour piano et de musique de chambre et vocale (opéra pour enfant). François Henry a eu l’occasion de participer à de nombreux ateliers de La Nouvelle Athènes comme pianiste et organiste lors d’un atelier César Franck ou pour d’autres comme auditeur, et à la Fondation Royaumont avec les pianistes historiquement informés Malcom Bilson, Piet Kuijken et Edoardo Torbianelli.
Lauréat du CNSMD de Paris puis du Pôle Sup’93, le ténor et musicologue Pierre Girod a vécu quelques années de son activité dans les chœurs allemands puis au sein d’ensembles vocaux spécialisés parisiens avant d’enseigner le chant lyrique en conservatoire. Habitué des rôles mozartiens (Tito, Ferrando, Don Basilio, Belmonte, Tamino, Vogelsang, etc.) qui conviennent idéalement à son timbre, il est souvent distribué aussi dans les ouvrages légers en raison de sa débordante vis comica. Il a créé des mélodies d’Alexandra Cherciu, Gabriel Rigaux, Elena Vassilieva et Alexandre Jamar. Le musicien est titulaire d’une thèse de doctorat avec le musicologue Hervé Lacombe à Rennes II « Les Mutations du ténor romantique : contribution à une histoire du chant français à l’époque de Gilbert Duprez (1837-1871) ».
Diplômé du CNSM de Paris en piano, accompagnement, écriture et analyse, François Henry se produit régulièrement en concert en France et à l’étranger (Italie, Japon, Allemagne, Pologne…), autant en tant que soliste qu’en tant que musicien chambriste. Passionné par l’apport des sources historiques et des répertoires méconnus, il crée l’association Pianomuses, en vue de faire vivre sa collection d’instruments du XIXe siècle, tout en défendant le répertoire contemporain avec de nombreuses créations. Titulaire du Certificat d’Aptitude, il enseigne le piano et l’accompagnement au Conservatoire de Toulouse. Le musicien détient également un diplôme de concertiste de pianoforte au CRR de Paris. Il est par ailleurs compositeur, auteur de pièces pour piano et de musique de chambre et vocale (opéra pour enfant). François Henry a eu l’occasion de participer à de nombreux ateliers de La Nouvelle Athènes comme pianiste et organiste lors d’un atelier César Franck ou pour d’autres comme auditeur, et à la Fondation Royaumont avec les pianistes historiquement informés Malcom Bilson, Piet Kuijken et Edoardo Torbianelli.
Programme :
Joseph Haydn 1732-1806
Viola’s Song « She never told her love »,
Hob. XXVIa:34 en La bémol Majeur (1795)
Henry Rowley Bishop 1786-1855
« Take, O take your lips away » en Mi bémol Majeur
Daniel Steibelt 1765-1823
Combat naval op. 36 en Mi bémol Majeur, pour piano avec récitant (1797)
George Frederick Pinto 1785-1806
Sonate op. 3 no.1 en Mi bémol mineur, 1er mouvement, pour piano solo (1803)
Absence, extrait de 4 Canzonets and a Sonata en Fa Majeur (1807)
Johann Baptist Cramer 1771-1858
Etude 5 extraite de « Dulce et utile » op.55 pour piano en Fa mineur (1815)
Thomas Attwood 1765-1838
« He is Gone on the Mountain » en ré mineur (1810)
Samuel Wesley 1766-1837
Might I in thy sight appear Ré mineur (1807)
Rondo en La Majeur sur l’air favori « Will putty », [extrait de l’opéra Thirty Thousand or Harlequin’s Lottery de William Reeve (ca. 1809)]
John Clarke-Whitfeld 1770-1836
« What voice is this ? » en la mineur (1817
Viola’s Song « She never told her love »,
Hob. XXVIa:34 en La bémol Majeur (1795)
Henry Rowley Bishop 1786-1855
« Take, O take your lips away » en Mi bémol Majeur
Daniel Steibelt 1765-1823
Combat naval op. 36 en Mi bémol Majeur, pour piano avec récitant (1797)
George Frederick Pinto 1785-1806
Sonate op. 3 no.1 en Mi bémol mineur, 1er mouvement, pour piano solo (1803)
Absence, extrait de 4 Canzonets and a Sonata en Fa Majeur (1807)
Johann Baptist Cramer 1771-1858
Etude 5 extraite de « Dulce et utile » op.55 pour piano en Fa mineur (1815)
Thomas Attwood 1765-1838
« He is Gone on the Mountain » en ré mineur (1810)
Samuel Wesley 1766-1837
Might I in thy sight appear Ré mineur (1807)
Rondo en La Majeur sur l’air favori « Will putty », [extrait de l’opéra Thirty Thousand or Harlequin’s Lottery de William Reeve (ca. 1809)]
John Clarke-Whitfeld 1770-1836
« What voice is this ? » en la mineur (1817
Infos complémentaires :
Quelles partitions pouvaient s’accumuler sur un piano anglais livré en 1815, quels genres pouvaient retenir l’attention des familiers et des invités ? De la sonate aux pièces descriptives en forme de mélodrame en passant par la mélodie vocale accompagnée, les artistes exploreront l’éventail des possibilités offertes sans avoir recours à un autre instrument (d’où l’absence des songs de Beethoven).
Les sonorités variées et les dynamiques particulières à chaque registre trouveront chacune leur illustration parfaite dans ce programme, au fil des tonalités, des caractères et des situations. Entre les noms plus célèbres d’Haydn et de Steibelt, c’est un pan rarement interprété de la musique écrite en Angleterre qui s’offre aux oreilles du public avec un souci d’authenticité qui fera l’objet de quelques explications aux moments les plus opportuns.
Les sonorités variées et les dynamiques particulières à chaque registre trouveront chacune leur illustration parfaite dans ce programme, au fil des tonalités, des caractères et des situations. Entre les noms plus célèbres d’Haydn et de Steibelt, c’est un pan rarement interprété de la musique écrite en Angleterre qui s’offre aux oreilles du public avec un souci d’authenticité qui fera l’objet de quelques explications aux moments les plus opportuns.