Agenda

Voyage Comique

Futurs concerts
Distribution : 
Duo Helya 

Ludmilla Bouakkaz, soprano
Mélanie Bracale, pianiste
 
Programme : 
Jacques Offenbach (1819 – 1880)
Le Voyage dans la Lune – « Je suis nerveuse » | 1875 
Le Voyage dans la Lune – « Couplets de la princesse » | 1875 

Jacques Offenbach (1819 – 1880)
Orphée aux Enfers – « Couplets des regrets » | 1858 
Orphée aux Enfers – « Invocation à la mort » | 1858 

Jacques Offenbach (1819 – 1880)
Fortunio – « Couplets de Laurette » | 1861 

Jacques Offenbach (1819 – 1880)
La Périchole – « Griserie » | 1868 

Jacques Offenbach (1819 – 1880)
La Chanson de Fortunio – Ouverture | 1861 – piano solo

Emmanuel Chabrier (1841 – 1894)
L’Étoile – « Air de Lazuli » | 1877 

Georges Bizet (1838 – 1875)
Carmen – « La Habanera » | 1875 

Daniel-François-Esprit Auber (1782 – 1871)
Le Domino Noir – « Rondo d’Angèle » | 1837 

Charles Lecocq (1832 – 1918)
Le Cœur et la Main – « Couplets de Perez » | 1882 

Charles Gounod (1818 – 1893)
Roméo et Juliette – « Valse de Juliette » | 1867 

Charles Gounod (1818 – 1893)
Roméo et Juliette – Acte II – Entr’acte | 1867 – piano solo

Gaetano Donizetti (1797 – 1848)
La Fille du Régiment – « Chacun le sait » | 1840 
La Fille du Régiment – « Il faut partir » | 1840 

Charles Lecocq (1832 – 1918)
La Fille de Madame Angot – Ouverture | 1872 – piano solo

Victor Herbert (1859 – 1924)
The Enchantress – « Art is Calling for Me » | 1911

Jeanine Tesori (1961 –)
The Girl in 14G | 2000 
Infos complémentaires : 
Nous avons intitulé notre programme “Voyage Comique”, car il explore, dans un ordre chronologique, les nombreuses formes qu’a prises l’opéra dit comique au fil de l’histoire de la musique.

Nous avons choisi de commencer par Jacques Offenbach, afin de rendre hommage au maître incontesté de l’opérette, de l’opéra bouffe et des féeries. À travers lui, nous racontons des histoires aussi délurées que touchantes. Ce parcours chronologique permet aussi de mieux apprécier l’évolution de son style, et la manière dont chaque œuvre influence la suivante.
La deuxième partie du programme est un condensé d'œuvres, plus ou moins connues, qui illustrent la richesse des formes qu’a pu revêtir l’opéra-comique au cours du XIXᵉ siècle. Elle nous permet de montrer qu’un opéra-comique n’est pas nécessairement écrit pour faire rire — bien au contraire. C’est aussi l’occasion de partager avec vous quelques-uns de nos morceaux favoris.

Pour clore ce programme, nous avons choisi deux œuvres en anglais. Car après tout, l’opéra-comique peut être vu comme l’ancêtre de la comédie musicale — et qui mieux que les Anglo-Saxons pour incarner cette transition et cet héritage ? Ces deux airs, légers et pleins d’humour, nous semblaient parfaits pour conclure cette belle soirée estivale à vos côtés — du moins, nous l’espérons !