Agenda
Otello - Giuseppe Verdi
Futurs concerts
Distribution :
Distribution :
Direction musicale : Speranza Scappucci
Mise en scène, décors : Ted Huffman
Collaboration aux décors : Bart Van Merode
Costumes : Astrid Klein
Lumières : Bertrand Couderc
Mouvements : Pim Veulings
Les Artistes
Otello : Mikheil Sheshaberidze les 29 octobre, 3 novembre, 6 novembre, 9 novembre, 18 novembre,
Errin Duane Brooks les 31 octobre, 16 novembre
Desdemona : Adriana Gonzalez
Iago : Daniel Miroslaw
Cassio : Joel Prieto
Lodovico : Jasurbek Khaydarov
Emilia : Brigitta Listra
Roderigo : Massimo Frigato
Montano : Thomas Chenhall
Chœur de l’Opéra national du Rhin, Chœur de l'Opéra national de Lorraine, Orchestre philharmonique de Strasbourg
Direction musicale : Speranza Scappucci
Mise en scène, décors : Ted Huffman
Collaboration aux décors : Bart Van Merode
Costumes : Astrid Klein
Lumières : Bertrand Couderc
Mouvements : Pim Veulings
Les Artistes
Otello : Mikheil Sheshaberidze les 29 octobre, 3 novembre, 6 novembre, 9 novembre, 18 novembre,
Errin Duane Brooks les 31 octobre, 16 novembre
Desdemona : Adriana Gonzalez
Iago : Daniel Miroslaw
Cassio : Joel Prieto
Lodovico : Jasurbek Khaydarov
Emilia : Brigitta Listra
Roderigo : Massimo Frigato
Montano : Thomas Chenhall
Chœur de l’Opéra national du Rhin, Chœur de l'Opéra national de Lorraine, Orchestre philharmonique de Strasbourg
Programme :
Opéra en quatre actes.
Livret d’Arrigo Boito, d’après Shakespeare.
Créé le 5 février 1887 au Teatro alla Scala de Milan.
Nouvelle production.
Coproduction avec l’Opéra national de Lorraine et les Théâtres de la Ville de Luxembourg.
Le crime parfait repose sur le pouvoir manipulateur de la suggestion : il consiste à encourager sa victime à boire d’elle-même le poison qui la consumera lentement. Dans le cas d’Otello, le poison est celui de la jalousie. Le machiavélique et perfide Iago n’a besoin que d’une seule parole énigmatique pour réveiller une insécurité enfouie dans le cœur du général triomphant. D’une rencontre anodine entre sa femme Desdémone et son capitaine Cassio, Otello conçoit les plus terribles soupçons et n’a de cesse de chercher les preuves qui lui confirmeront la réalité de cette liaison pourtant imaginaire. Des preuves que ne manquera pas de lui fournir Iago pour tenter d’assouvir sa soif de pouvoir et de vengeance.
Après le succès d’Aïda en 1871, Giuseppe Verdi se retire de la scène, auréolé de gloire, pour se consacrer à la composition de musique religieuse et à la révision de ses opéras. Il faudra toute la persévérance de son éditeur, l’enthousiasme passionné du librettiste (et compositeur) Arrigo Boito et la perspective de se mesurer une nouvelle fois à William Shakespeare pour le convaincre de revenir sous les feux de la rampe. Seize ans après ses adieux, Verdi fait un retour triomphal avec Otello et entre de plain-pied dans la modernité en signant une partition d’une rare intensité, portée par une orchestration aux couleurs fauves. Speranza Scappucci dirige ce chef-d’œuvre dramatique dans une mise en scène de Ted Huffman qui en sublime par l’épure toute la profondeur psychologique.
Livret d’Arrigo Boito, d’après Shakespeare.
Créé le 5 février 1887 au Teatro alla Scala de Milan.
Nouvelle production.
Coproduction avec l’Opéra national de Lorraine et les Théâtres de la Ville de Luxembourg.
Le crime parfait repose sur le pouvoir manipulateur de la suggestion : il consiste à encourager sa victime à boire d’elle-même le poison qui la consumera lentement. Dans le cas d’Otello, le poison est celui de la jalousie. Le machiavélique et perfide Iago n’a besoin que d’une seule parole énigmatique pour réveiller une insécurité enfouie dans le cœur du général triomphant. D’une rencontre anodine entre sa femme Desdémone et son capitaine Cassio, Otello conçoit les plus terribles soupçons et n’a de cesse de chercher les preuves qui lui confirmeront la réalité de cette liaison pourtant imaginaire. Des preuves que ne manquera pas de lui fournir Iago pour tenter d’assouvir sa soif de pouvoir et de vengeance.
Après le succès d’Aïda en 1871, Giuseppe Verdi se retire de la scène, auréolé de gloire, pour se consacrer à la composition de musique religieuse et à la révision de ses opéras. Il faudra toute la persévérance de son éditeur, l’enthousiasme passionné du librettiste (et compositeur) Arrigo Boito et la perspective de se mesurer une nouvelle fois à William Shakespeare pour le convaincre de revenir sous les feux de la rampe. Seize ans après ses adieux, Verdi fait un retour triomphal avec Otello et entre de plain-pied dans la modernité en signant une partition d’une rare intensité, portée par une orchestration aux couleurs fauves. Speranza Scappucci dirige ce chef-d’œuvre dramatique dans une mise en scène de Ted Huffman qui en sublime par l’épure toute la profondeur psychologique.
Infos complémentaires :
En italien
Surtitré en français et en allemand.
Tarifs : 6 - 91 €
Durée : 3h00 entracte compris
À partir de 12 ans
Prologue
Une heure avant chaque représentation, un dramaturge vous propose une courte introduction de 30 minutes.
credit : Sébastien Plassard
Avec le soutien de Fidelio.
Surtitré en français et en allemand.
Tarifs : 6 - 91 €
Durée : 3h00 entracte compris
À partir de 12 ans
Prologue
Une heure avant chaque représentation, un dramaturge vous propose une courte introduction de 30 minutes.
credit : Sébastien Plassard
Avec le soutien de Fidelio.