Agenda
JEAN-PHILIPPE COLLARD, PIANO
Futurs concerts
Distribution :
Jean-Philippe Collard, piano
Programme :
BACH & BUSONI | Toccata en Ut majeur, BWV 564
RAVEL | Pavane pour une infante défunte · Sonatine · Oiseaux tristes · Alborada del gracioso (extraits des Miroirs)
RACHMANINOV | Six Moments musicaux op.16
RAVEL | Pavane pour une infante défunte · Sonatine · Oiseaux tristes · Alborada del gracioso (extraits des Miroirs)
RACHMANINOV | Six Moments musicaux op.16
Infos complémentaires :
Jean-Philippe Collard appartient à cette catégorie d’artistes qui se déplacent dans l’espace comme ils jouent : les gestes mesurés effleurent les lumières jusqu’à ce qu’il s’installe devant l’instrument.
Ce concert est celui d’un musicien-narrateur. Jean-Philippe Collard raconte la puissance grandiose du romantique Ferruccio Busoni qui arrangea quelques-unes des plus belles pages de Jean-Sébastien Bach. Le piano devient un orgue. Sous les doigts d’un des grands maîtres du piano français, la musique de Maurice Ravel apparaît dans toute sa splendeur à la fois pudique et virtuose.
Pudique dans la Pavane pour une infante défunte dont la lente danse processionnelle évoque la fascination de l’Espagne. Reflets d’objets, d’êtres, d’échos de la nature qui offrent le prétexte à une étude des timbres, à des impressions sonores improvisées : ce sont les Miroirs. Écoutons ces Oiseaux tristes « perdus dans la torpeur d’une forêt très sombre aux heures les plus chaudes de l’été » tels que les décrit Ravel.
Virtuose dans Alborada del gracioso, cette « sorte de Petrouchka andalou » selon le mot magnifique du philosophe Vladimir Jankélévitch.
Jean-Philippe Collard referme le récital avec les Six Moments musicaux op.16 de Serge Rachmaninov : épopée, déploration, orages romantiques, rêves et bravoure traversent ces pages emblématiques de la musique russe.
Ouverture des portes à 10h. Petit-déjeuner offert par l’association
Ce concert est celui d’un musicien-narrateur. Jean-Philippe Collard raconte la puissance grandiose du romantique Ferruccio Busoni qui arrangea quelques-unes des plus belles pages de Jean-Sébastien Bach. Le piano devient un orgue. Sous les doigts d’un des grands maîtres du piano français, la musique de Maurice Ravel apparaît dans toute sa splendeur à la fois pudique et virtuose.
Pudique dans la Pavane pour une infante défunte dont la lente danse processionnelle évoque la fascination de l’Espagne. Reflets d’objets, d’êtres, d’échos de la nature qui offrent le prétexte à une étude des timbres, à des impressions sonores improvisées : ce sont les Miroirs. Écoutons ces Oiseaux tristes « perdus dans la torpeur d’une forêt très sombre aux heures les plus chaudes de l’été » tels que les décrit Ravel.
Virtuose dans Alborada del gracioso, cette « sorte de Petrouchka andalou » selon le mot magnifique du philosophe Vladimir Jankélévitch.
Jean-Philippe Collard referme le récital avec les Six Moments musicaux op.16 de Serge Rachmaninov : épopée, déploration, orages romantiques, rêves et bravoure traversent ces pages emblématiques de la musique russe.
Ouverture des portes à 10h. Petit-déjeuner offert par l’association