Agenda
Images en musique
Futurs concerts
Distribution :
Duo Lefort
Marthe Lefort, flûte traversière
Jeanne Lefort, accordéon
Marthe Lefort, flûte traversière
Jeanne Lefort, accordéon
Programme :
Astor Piazzolla (1921 – 1992)
Maria de Buenos Aires – arrangement Bruno Maurice | 1968
François Borne (1840 – 1920)
Fantaisie brillante sur l’opéra Carmen de Georges Bizet
Christoph Willibald Gluck (1714 – 1787)
Orphée et Euridice – « Danse des ombres heureuses » | 1774
Arne Nordheim (1931 – 2010)
Flashing | 1985
Philip Glass (né en 1937)
Façades | 1981
Alexandre Desplat (né en 1961)
Airlines | 2002
Nino Rota (1911 – 1979)
Medley de musiques de film – arrangement Bruno Maurice
Maria de Buenos Aires – arrangement Bruno Maurice | 1968
François Borne (1840 – 1920)
Fantaisie brillante sur l’opéra Carmen de Georges Bizet
Christoph Willibald Gluck (1714 – 1787)
Orphée et Euridice – « Danse des ombres heureuses » | 1774
Arne Nordheim (1931 – 2010)
Flashing | 1985
Philip Glass (né en 1937)
Façades | 1981
Alexandre Desplat (né en 1961)
Airlines | 2002
Nino Rota (1911 – 1979)
Medley de musiques de film – arrangement Bruno Maurice
Infos complémentaires :
Ce programme propose un voyage sonore à la croisée de l’opéra et du cinéma. À travers des œuvres et des extraits de styles très variés, il met en lumière des musiques imagées, évocatrices, profondément liées à la narration. Chaque pièce convoque un univers dramatique, inspiré de livrets d’opéra ou de scénarios filmiques.
Grâce à des arrangements et des medleys originaux, nous explorons les liens entre langage musical et procédés narratifs issus du cinéma et de la scène lyrique : jeux d’espace, montages sonores, flash-backs, fondus enchaînés, arrêts sur image… La musique devient ici un vecteur de récit et de sensation, capable de dessiner des scènes, des atmosphères, des mouvements internes.
Grâce à des arrangements et des medleys originaux, nous explorons les liens entre langage musical et procédés narratifs issus du cinéma et de la scène lyrique : jeux d’espace, montages sonores, flash-backs, fondus enchaînés, arrêts sur image… La musique devient ici un vecteur de récit et de sensation, capable de dessiner des scènes, des atmosphères, des mouvements internes.