Agenda
LE CHÂTEAU DE BARBE-BLEUE, version de concert
Futurs concerts
Distribution :
Klaus Mäkelä, Direction musicale
Gerald Finley, Barbe-Bleue
Irene Roberts, Judith
Orchestre de Paris, Orchestre
Gerald Finley, Barbe-Bleue
Irene Roberts, Judith
Orchestre de Paris, Orchestre
Programme :
Béla Bartók, LE CHÂTEAU DE BARBE-BLEUE, VERSION DE CONCERT
Infos complémentaires :
Réservations :
- Abonnements à partir du 27 janvier 2026
- Places à l'unité à partir du 3 février 2026
La grande salle d’un château gothique entourée de sept portes closes. Soustraite par Barbe-Bleue à sa famille, Judith se jure d’apporter lumière et joie dans le monde de cet époux qu’elle aime, où tout semble n’être que ténèbres et lamentations. Malgré les mises en garde et les révélations toujours plus inquiétantes – qui donnent à la beauté la couleur du sang –, elle exige l’ouverture une à une des mystérieuses portes. Mais Barbe-Bleue est-il réellement le monstre que l’on imagine ? Que sont devenues ses précédentes épouses et quel sort attend Judith derrière l’ultime porte ? En regard de La Femme sans ombre, dont il est le contemporain – et dessinant lui aussi un parcours initiatique tout en clair-obscur –, Klaus Mäkelä et l’Orchestre de Paris proposent l’un des plus grands chefs-d’œuvre lyriques du XXe siècle, d’une tension dramatique constante et d’une expressivité sonore sans égale. Pour interpréter cette fable immortelle qui se joue au théâtre de l’âme, Gerald Finley fait son grand retour et Irene Roberts, des débuts et une prise de rôle on ne peut plus prometteurs.
- Abonnements à partir du 27 janvier 2026
- Places à l'unité à partir du 3 février 2026
La grande salle d’un château gothique entourée de sept portes closes. Soustraite par Barbe-Bleue à sa famille, Judith se jure d’apporter lumière et joie dans le monde de cet époux qu’elle aime, où tout semble n’être que ténèbres et lamentations. Malgré les mises en garde et les révélations toujours plus inquiétantes – qui donnent à la beauté la couleur du sang –, elle exige l’ouverture une à une des mystérieuses portes. Mais Barbe-Bleue est-il réellement le monstre que l’on imagine ? Que sont devenues ses précédentes épouses et quel sort attend Judith derrière l’ultime porte ? En regard de La Femme sans ombre, dont il est le contemporain – et dessinant lui aussi un parcours initiatique tout en clair-obscur –, Klaus Mäkelä et l’Orchestre de Paris proposent l’un des plus grands chefs-d’œuvre lyriques du XXe siècle, d’une tension dramatique constante et d’une expressivité sonore sans égale. Pour interpréter cette fable immortelle qui se joue au théâtre de l’âme, Gerald Finley fait son grand retour et Irene Roberts, des débuts et une prise de rôle on ne peut plus prometteurs.



