Agenda
Concert Jeunes Talents - Passion folklorique
Futurs concerts
Distribution :
Marie-Aude Melliès, violon
Ilan Zajtmann, piano
Ilan Zajtmann, piano
Programme :
Georges Enesco (1881 – 1955)
Sonate n°3 pour violon et piano en la mineur, op. 25 « Dans le caractère populaire roumain » | 1926
Moderato malinconico
Andante sostenuto e misterioso
Allegro con brio, ma non troppo mosso
Ludwig van Beethoven (1770 – 1827)
Sonate pour piano et violon n°9 en la majeur, op. 47 « Kreutzer » | 1803
Adagio sostenuto – Presto
Andante con variazioni
Presto
Camille Saint-Saëns (1835 – 1921) / Eugène Ysaÿe (1858 – 1931)
Caprice d’après l’Étude en forme de valse, op. 52 n°6
Sonate n°3 pour violon et piano en la mineur, op. 25 « Dans le caractère populaire roumain » | 1926
Moderato malinconico
Andante sostenuto e misterioso
Allegro con brio, ma non troppo mosso
Ludwig van Beethoven (1770 – 1827)
Sonate pour piano et violon n°9 en la majeur, op. 47 « Kreutzer » | 1803
Adagio sostenuto – Presto
Andante con variazioni
Presto
Camille Saint-Saëns (1835 – 1921) / Eugène Ysaÿe (1858 – 1931)
Caprice d’après l’Étude en forme de valse, op. 52 n°6
Infos complémentaires :
Ce programme explore les liens entre la tradition populaire, la danse et la virtuosité à travers trois œuvres du répertoire pour violon et piano.
Nous démarrons avec la Troisième Sonate pour violon et piano de Georges Enesco, « dans le caractère populaire roumain » (1926). Le compositeur y intègre des sonorités inspirées du violon tzigane, avec des rythmes irréguliers et des modes propres aux musiques traditionnelles roumaines. Cette œuvre, d’apparence rhapsodique, est soutenue par une écriture d’une grande rigueur structurelle et témoigne de l’attachement d’Enesco au folklore de son pays.
Le programme se poursuit avec la Neuvième Sonate pour violon et piano de Ludwig van Beethoven, op. 47, dite « à Kreutzer » (1803). L’œuvre renouvelle le genre en instaurant un dialogue d’une ampleur nouvelle entre les deux instruments, où la virtuosité devient un puissant vecteur expressif. Le premier mouvement frappe par l’intensité de son caractère et l’ampleur de son développement, tandis que le final adopte la forme d’une tarentelle. Par l’emploi de cette danse folklorique italienne, Beethoven exploite une énergie rythmique qui, d’une manière différente de celle d’Enesco, puise sa force dans une tradition populaire.
Enfin, nous terminons avec l’Étude en forme de valse de Camille Saint-Saëns, dans la transcription d’Eugène Ysaÿe : une pièce brillante alliant la virtuosité à l’élégance de la valse.
Nous démarrons avec la Troisième Sonate pour violon et piano de Georges Enesco, « dans le caractère populaire roumain » (1926). Le compositeur y intègre des sonorités inspirées du violon tzigane, avec des rythmes irréguliers et des modes propres aux musiques traditionnelles roumaines. Cette œuvre, d’apparence rhapsodique, est soutenue par une écriture d’une grande rigueur structurelle et témoigne de l’attachement d’Enesco au folklore de son pays.
Le programme se poursuit avec la Neuvième Sonate pour violon et piano de Ludwig van Beethoven, op. 47, dite « à Kreutzer » (1803). L’œuvre renouvelle le genre en instaurant un dialogue d’une ampleur nouvelle entre les deux instruments, où la virtuosité devient un puissant vecteur expressif. Le premier mouvement frappe par l’intensité de son caractère et l’ampleur de son développement, tandis que le final adopte la forme d’une tarentelle. Par l’emploi de cette danse folklorique italienne, Beethoven exploite une énergie rythmique qui, d’une manière différente de celle d’Enesco, puise sa force dans une tradition populaire.
Enfin, nous terminons avec l’Étude en forme de valse de Camille Saint-Saëns, dans la transcription d’Eugène Ysaÿe : une pièce brillante alliant la virtuosité à l’élégance de la valse.