Agenda
Adoramus te : Monteverdi, Cavalli, Schütz
Futurs concerts
Distribution :
Solistes de la Maîtrise Notre-Dame de Paris
Yves Castagnet, orgue et direction artistique
Yves Castagnet, orgue et direction artistique
Programme :
Georg Philipp Telemann (1681-1767)
Es segne uns Gott
Heinrich Schütz (1585-1672)
Ego dormio
Vulnerasti
Dietrich Buxtehude (1637-1707)
In te, Domine, speravi
Claudio Monteverdi (1567-1643)
Nigra sum
Salve Regina
Laudate Dominum
Jacopo Corsi (1561-1602)
Adoramus te
Francesco Cavalli (1602-1676)
Ave Regina cælorum
O quam suavis
O Bone jesu
Francesco Gasparini (1661-1727)
Adoramus te
Hans Leo Hassler (1564-1612)
Laudate Dominum
Giovanni Pierluigi da Palestrina (1525-1594)
Exaudi Domine
Henry Purcell
Lord, I can suffer omnes
Beati omnes
Es segne uns Gott
Heinrich Schütz (1585-1672)
Ego dormio
Vulnerasti
Dietrich Buxtehude (1637-1707)
In te, Domine, speravi
Claudio Monteverdi (1567-1643)
Nigra sum
Salve Regina
Laudate Dominum
Jacopo Corsi (1561-1602)
Adoramus te
Francesco Cavalli (1602-1676)
Ave Regina cælorum
O quam suavis
O Bone jesu
Francesco Gasparini (1661-1727)
Adoramus te
Hans Leo Hassler (1564-1612)
Laudate Dominum
Giovanni Pierluigi da Palestrina (1525-1594)
Exaudi Domine
Henry Purcell
Lord, I can suffer omnes
Beati omnes
Infos complémentaires :
Véritable âge d’or musical, le XVIIe siècle fut marqué par une exploration des affects humains et un épanouissement de l'expressivité vocale. Dans la flamboyante Italie, les compositeurs développèrent une écriture vocale libre, centrée sur le mot et l’émotion — la « seconda prattica ».
L’arrivée concomitante de l’opéra, menée par quelques grandes personnalités comme Claudio Monteverdi, amena une nouvelle dramatisation du discours musical qui eut des répercussions dans tous les pays européens et dans tous les répertoires, y compris sacrés.
En Allemagne, Schütz mêla ces innovations à la rigueur luthérienne, suivi de Buxtehude dont la musique annonçait déjà le futur éclat de Bach.
Plus tardifs, Telemann et Purcell furent les héritiers de ces traditions mettant au centre l’expressivité du texte. Interprétant quelques joyaux de ces répertoires, les solistes de la Maitrise de Notre-Dame célèbrent la diversité des langages.
L’arrivée concomitante de l’opéra, menée par quelques grandes personnalités comme Claudio Monteverdi, amena une nouvelle dramatisation du discours musical qui eut des répercussions dans tous les pays européens et dans tous les répertoires, y compris sacrés.
En Allemagne, Schütz mêla ces innovations à la rigueur luthérienne, suivi de Buxtehude dont la musique annonçait déjà le futur éclat de Bach.
Plus tardifs, Telemann et Purcell furent les héritiers de ces traditions mettant au centre l’expressivité du texte. Interprétant quelques joyaux de ces répertoires, les solistes de la Maitrise de Notre-Dame célèbrent la diversité des langages.