Agenda

    Entre la candeur virginale de Tancredi et la maturité décomplexée du Comte Ory.


    Le Palais royal, Julie Mathevet, Aliénor Feix, et Mathais Vidal explorent les mille nuances du bel canto rossinien.
    C’est le Paradis perdu d’un art légendaire hérité de la tradition italienne du XVIIIe siècle que Rossini recueille, rénove, transcende, et qui meurt avec lui.
    OUVERTURE
    Sinfonia de Tancredi
    ACTE I (extraits de Tancredi)
    1. Entrée de Tancredi, prélude, récitatif et cavatine :
    Preludio (Atto I – scena V) & ritornello
    « Oh patria ! Dolce e ingrata patria !… Tu che accendi questo core »
    « Di tanti palpiti » (Tancredi, mezzo)
    2. Récitatif et aria « Pensa che sei mia figlia » (Argirio, ténor)
    3. Preludio (Atto II – scena XVI)
    4. Chœur et cavatine « Più dolci e placide spirano l’aure » et « Come dolce all’ alma mia » (Aménaïde, soprano et chœur)
    5. Trio final « Tra quai soavi palpiti » (Aménaïde, Argirio et Tancredi) (lieto fine de la création à Venise)
    ACTE II (extraits du Comte Ory)
    6. Duo « Une dame de haut parage » (Isolier, comte Ory)
    7. Marche « Isolier dans ces lieux » (comtesse Adèle, Isolier, comte Ory)
    8. Air « En proie à la tristesse » (comtesse Adèle et chœur)
    9. « Vous avez entendu sa touchante prière… Ô, bon ermite » (comtesse Adèle, Isolier, comte Ory, chœur)
    10. Prélude de l’acte I (orchestre seul)
    11. Trio final : « D’effroi je suis toute saisie… À la faveur de cette nuit obscure » (comtesse Adèle, Isolier, comte Ory)
    DISTRIBUTION
    Julie Mathevet, soprano
    Aliénor Feix, mezzo
    Mathias Vidal, ténor
    Adrien Jourdain, mise en espace
    Le Palais royal, orchestre sur instruments d’époque
    Jean-Philippe Sarcos, direction
    Durée : 1 h 15