SCHUBERTIADES

SCHUBERTIADES / AUTOUR DE MARIA JOÃO PIRES 
La Jeune Fille et la Mort

Musique de chambre
• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie

PROGRAMME

Franz Schubert
Lieder
(Der Tod und das Mädchen, An Mein Klavier, Nachtstück, An die Leier)

Dai Fujikura
Deconstructing Franz

Franz Schubert
Quatuor à cordes n° 14 "La Jeune Fille et la Mort"

ENTRACTE

Improvisations
piano

Franz Schubert
Sonate pour piano D 960

Lied
(Nacht und Träume)

DISTRIBUTION

Maria João Pires , piano
Thomas Humphreys , ténor
Quatuor Hermès
Omer Bouchez , violon
Elise Liu , violon
Lou Yung-Hsin Chang , alto
Yan Levionnois , violoncelle
Selma Uamusse , chant
Thomas Enhco , improvisations au piano
Judite da Silva Gameiro , scénographie, costumes, mise en espace
Jean-Jacques Sanchez , assistant à la mise en espace
Isabelle Bernard , assistante à la scénographie et aux costumes
Laurie Chomel , danse
Lili Buvat , danse
João Saraiva , danse

Ce week-end exceptionnel de schubertiades autour de Maria João Pires débute avec deux œuvres majeures du créateur autrichien, le déchirant Quatuor « La Jeune Fille et la Mort » et son ultime sonate pour piano, à l’aura poétique incomparable.

Franz Schubert n’aimait rien tant que s’entourer d’amis et partager la musique de manière conviviale. C’est cet esprit de schubertiade qui anime Maria João Pires, une de ses plus grandes interprètes. L’acclamé Quatuor Hermès interprète son Quatuor n° 14, au pouvoir émotionnel sans pareil, tour à tour d’une ampleur quasi symphonique, parcourant un paysage glacé, ou encore, dans sa cavalcade finale, fantasmagorique. S’appuyant sur cette partition, l’œuvre pour quatuor de Dai Fujikura témoigne de la fascination qu’exerce le compositeur sur les créateurs contemporains. Quant à la Sonate pour piano D 960, qui semble émerger d’un rêve, elle culmine dans son Andante sostenuto, un moment d’éternité. 

Coproduction Philharmonie de Paris, Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne

Coproduction Philharmonie de Paris, Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne