Agenda
MOZART EN FÊTE - Orchestre des Pays de Savoie
Futurs concerts
Distribution :
Pieter-Jelle de Boer Direction et piano
Orchestre des Pays de Savoie
L’Orchestre des Pays de Savoie est soutenu par le Conseil départemental de la Haute-Savoie, le Conseil départemental de la Savoie, le Ministère de la Culture (DRAC Auvergne-Rhône-Alpes), la Région Auvergne-Rhône-Alpes et par son Club d’entreprises mécènes Amadeus
Orchestre des Pays de Savoie
L’Orchestre des Pays de Savoie est soutenu par le Conseil départemental de la Haute-Savoie, le Conseil départemental de la Savoie, le Ministère de la Culture (DRAC Auvergne-Rhône-Alpes), la Région Auvergne-Rhône-Alpes et par son Club d’entreprises mécènes Amadeus
Programme :
Pour fêter leurs quarante ans, l’Orchestre des Pays de Savoie et son chef Pieter-Jelle de Boer, également pianiste concertiste de talent, consacrent au génie de Wolfgang Amadeus Mozart tout un programme alerte et vivifiant prompt à réchauffer le cœur et l’esprit.
Du propre aveu de Mozart, il règne un élan tempétueux dans la Symphonie n°35 dite Haffner : « Le premier mouvement doit être joué avec beaucoup de feu ; le dernier, aussi vite que possible ». Écrite aux lendemains de la première de l’opéra L’enlèvement au sérail, la Symphonie Haffner (du nom de son commanditaire) est un tourbillon irrésistible de joie.
On retrouve la même fièvre mélodique dans l’éclatant Concerto pour piano n°14. Le soliste y noue avec l’orchestre un dialogue qui rappelle cette fois les échanges véloces des Noces de Figaro.
Pour introduire ce programme entièrement mozartien, la Symphonie n°33 s’avère un joyau tout aussi allègre et vif.
Un concert mené à un tempo d’enfer !
Du propre aveu de Mozart, il règne un élan tempétueux dans la Symphonie n°35 dite Haffner : « Le premier mouvement doit être joué avec beaucoup de feu ; le dernier, aussi vite que possible ». Écrite aux lendemains de la première de l’opéra L’enlèvement au sérail, la Symphonie Haffner (du nom de son commanditaire) est un tourbillon irrésistible de joie.
On retrouve la même fièvre mélodique dans l’éclatant Concerto pour piano n°14. Le soliste y noue avec l’orchestre un dialogue qui rappelle cette fois les échanges véloces des Noces de Figaro.
Pour introduire ce programme entièrement mozartien, la Symphonie n°33 s’avère un joyau tout aussi allègre et vif.
Un concert mené à un tempo d’enfer !
Infos complémentaires :
Durée : 1h30 entracte compris