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  • Akhenaton fut l’un des pharaons les plus marquants de l’Égypte ancienne. Il réussit en effet à imposer l’un des premiers monothéismes de l’histoire, faisant de Râ, le dieu soleil, la seule et unique divinité de son royaume.

    Quand le compositeur américain Philip Glass décide de consacrer plusieurs opéras à de grandes figures de l’histoire, Akhenaton s’impose à lui avec évidence. Après Einstein on the Beach (1976) et Satyagraha (1980), Aknathen vient clore avec brio cette trilogie. Utilisant des textes de l’époque, dont un poème d’Akhenaton lui-même, l’ouvrage parcourt son règne aussi brillant qu’original depuis son accession au trône après la mort de son père Aménophis III, jusqu’à sa chute. Akhnaten recèle quelques moments phares de la musique minimaliste, comme la géniale scène du couronnement !

    Nouvelle production

    Distribution
    Direction musicale : Léo Warynski
    Mise en scène et chorégraphie : Lucinda Childs
    Scénographie et costumes : Bruno De Lavenère
    Lumières : David Debrinay
    Vidéo : Étienne Guiol

    Akhnaten : Fabrice Di Falco
    Nefertiti : Julie Robard-Gendre
    Reine Tye : Patrizia Ciofi
    Horemhab : Joan Martín-Royo 
    Amon : Frédéric Diquero
    Aye : Vincent Le Texier
    Amenhotep (rôle parlé) : Lucinda Childs
    Six filles d’Akhnaten : Karine Ohanyan, Rachel Duckett, Mathilde Lemaire Vassiliki Koltouki, Annabella Ellis, Aviva Manenti 

    18 Janvier 2021
  • Cap sur l’Angleterre de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle avec le programme « O Solitude » présenté par Le Consort en clôture du Festival de Royaumont 2020. Comme son intitulé le laisse supposer, il fait largement honneur à Henry Purcell (1659-1695), avec diverses pages vocales, confiées au contre-ténor Paul-Antoine Bénos-Djian, mais aussi un ground pour clavecin et la Sonata of Four Parts Z 807, placés en introduction. Purcell auquel John Blow rend hommage dans l’émouvante Ode on the Death de Henry Purcell, écrite un an après la disparition prématurée de son ancien élève et ami.

    Côté instrumental, le programme du Consort réserve par ailleurs une belle place à Nicola Matteis (1650-1714), violoniste virtuose et compositeur d’origine napolitaine qui mena une très belle carrière à Londres à partir de 1672 et contribua à y développer le goût de la musique italienne.

    Programme détaillé : http://bit.ly/Programme-OSolitude

    10 Novembre 2020
  • Interview de Denis Herlin et Cécile Quesney

    Remarquable musicien, chef d’orchestre et compositeur exigeant, Caplet était porté par l’idéal d’un art vocal et instrumental intime, parfois audacieux et très souvent inspiré par le sentiment religieux. Sa personnalité musicale, marquée par celle de Debussy, s’est développée au fil d’une carrière très dense, mais aussi discontinue, partagée entre composition et interprétation. À partir des nombreuses sources disponibles aujourd’hui, le présent volume examine les différentes étapes du parcours de Caplet et les spécificités de son œuvre envoûtante et protéiforme. Enrichies de documents inédits, dont de nouvelles lettres de Debussy, ces contributions dévoilent toutes les facettes d’une figure marquante de la musique française du début du XXe siècle.

    22 Septembre 2020
  • Vers 1846, à l’attention de Pauline Chazaren, une élève qui lui avait été envoyée par Liszt, Frédéric Chopin entreprit d’annoter le Livre I du Clavier Bien Tempéré de Bach – un devancier auquel le Polonais vouait on le sait un véritable culte. Après avoir longtemps dormi dans une collection privée, ce document passionnant paraît aux Editions Symétrie grâce à l’initiative de la Société Française de Musicologie. Grand spécialiste de Chopin, Jean-Jacques Eigeldinger a rédigé le commentaire d’un facsimile qui souligne à quel point la musique de Bach demeurait vivante pour l’auteur des Mazurkas. Il présente ici cette entreprise éditoriale, avec en contrepoint des extraits interprétés par Nathanël Gouin.

    14 Septembre 2020
  • Du dimanche 6 septembre au samedi 31 octobre, 18 rendez-vous qui reflètent la diversité des formes artistiques : le répertoire de la voix, la création musicale d’aujourd’hui, la danse contemporaine, le spectacle jeune public…

    Programme complet : https://bit.ly/RoyaumontFestival2020

    23 Août 2020
  • C’est la fameuse Marche turque de Mozart que Célia Oneto Bensaid a choisie pour cette vidéo en confinement. Mais si tout commence normalement, très vite la swinguante impertinence de Fazil Say prend le dessus pour un résultat ... hautement vitaminé !

    On en raffole, comme de l’énergie et des couleurs que la pianiste montrait dans son très réussi premier disque en solo (Soupir), qui réunit Gershwin et Bernstein.

    Passionnée de mélodie et de musique de chambre, Célia Oneto Bensaid fait équipe depuis longtemps avec la soprano Marie-Laure Garnier ; leur duo a d’ailleurs remporté en 2017 le Prix de Mélodie au Concours Lili et Nadia Boulanger. Des pages signées Zemlinsky, Caplet et Schubert témoignent de leur belle entente (dans « Le promenoir des amants », récital collectif publié dans la série Orsay-Royaumont Live de B Records).

    Côté chambriste, la pianiste a pris part l’an dernier à un portrait de Camille Pépin, l’une des personnalités montantes de la scène contemporaine (#NoMadMusic).

    Plus d’infos sur Célia Oneto Bensaid

    Musique en confinement

     

    28 Avril 2020
  • Bach, Rameau, Ravel, Schumann… tous les week-ends du 7 septembre au 6 octobre, l’abbaye de Royaumont célèbre la musique et la danse à travers concerts, spectacles, rencontres et activités en famille !
    Plus d'infos sur www.royaumont.com
    30 Août 2019
  • Interview PRO - Épisode 3 :  Francis Maréchal, directeur général de la Fondation Royaumont (Royaumont, Val d’Oise)

    Francis Maréchal dispose d'une double formation musicale et économique (1er Prix de flûte de l'ENM de Bobigny et diplômé de l'ESSEC) et est depuis 1985 directeur général de la Fondation Royaumont. Au sein de l'Abbaye de même nom - située dans le Val D'Oise et fondée par Saint Louis au XIIIe siècle - il porte une attention particulière à la rencontre entre les artistes et les publics. 
     

    Interview Profedim
     
     
    20 Novembre 2018
  • Le Festival « Pianos, pianos » souhaite mettre en lumière la merveilleuse mécanique sonore du piano, et la diversité des instruments : depuis le début du XIXe siècle, les facteurs et les compositeurs n’ont eu de cesse de l’enrichir et de faire évoluer sa musicalité.
    Durant deux jours, plusieurs générations d’artistes – accompagnés par la Médiathèque Musicale Mahler et la Fondation Royaumont – partageront avec le public leur passion pour le piano et leur approche renouvelée de l’interprétation, fruit de recherches sur des œuvres puisées pour une grande part dans les fonds de pianistes conservés à la Médiathèque Musicale Mahler.
    Edoardo Torbianelli et Claudia Chan, artistes en résidence – Nicolas Hodges, formateur – Benjamin d’Anfray, Laura Fernandez Granero, Luca Montebugnoli, lauréats, présenteront quelques-unes des pages les plus originales ou emblématiques du répertoire pianistique des XIXe et XXe siècles, confrontant les esthétiques et les temporalités dans un esprit d’ouverture et de curiosité.
    Une attention toute particulière sera également portée à la qualité des instruments : pianos romantiques, pianos modernes, pianos préparés, toy piano… Les pianos historiques seront présentés dans un état de conservation et de restauration exceptionnel.
     
    Plus d'infos sur pianos-pianos.fr
     
    05 Novembre 2018

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