Tout part d'un personnage perché sur un fil, suivant lentement, attentivement et élégamment sa course jusqu'à un horizon qui n'est pas un point, mais un continent. Alors le spectacle commence, nous plongeant au cœur d'une nature douce et révoltée, rassurante et violente. La vie apparaît, dansante, émerveillée ; deux êtres malicieux se croisent et s'amusent, laissant place au monde de la nuit, ses mystères, ses lueurs imperceptibles. La mort ; le silence ; la vie, gaie et insouciante. Le temps poursuit-il sa course effrénée vers un avant inconnu ? ou nous relie-t-il à des moments hors du temps, îlots précieux à savourer ? L'étourdissante abondance est-elle préférable à la page blanche ?