Agenda

    Lawrence Brownlee ténor
    Aida Garifullina soprano 

    Orchestre de chambre de Paris
    Speranza Scappucci direction 

    Les Grandes Voix

    L'un des plus grands ténors de bel canto et la soprano qui monte : Verdi, Gounod, Puccini, Bizet..., le beau duo traverse toutes les nuances du sentiment amoureux

    Airs interprétés par Aida Garifullina
    Donizetti «Regnava nel silenzio» (Lucia di Lammermoor)
    Delibes «La filles de Cadix»
    Gounod «Ah, je ris de me voir si belle» (Faust)
    Puccini «Quando m'en vo'» (La Bohème)

    Airs interprétés par Lawrence Brownlee
    Donizetti «Ah mes amis» (La Fille du régiment)
    Rossini «Terra amica» (Zelmire)
    Donizetti «Spirto gentil» (La Favorite)
    Bizet «Je crois entendre encore» (Les Pêcheurs de perles)

    Duos
    Verdi
    «Caro Elisir ! Sei mio…», «Esulti pur la barbara», «Non ti scordar di me», «Parigi o cara» (La Traviata) 

    Particulièrement reconnu pour ses interprétations de rôles de bel canto, Lawrence Brownlee a débuté au Metropolitan Opera de New York en 2007 dans le rôle du Comte Almaviva du Barbier de Séville, puis a été désigné Artiste de l'année de l'opéra de Seattle en 2008 pour son interprétation du rôle d'Arturo dans Les Puritains de Bellini. 

    Il a depuis chanté sur les scènes les plus prestigieuses (Scala, Munich, Covent Garden, Berlin…) et en compagnie des plus grands chefs et orchestres. Il s’est particulièrement fait remarquer la saison dernière à l’Opéra de Paris dans Le Barbier de Séville, pour avoir bissé le dernier air du Comte Almaviva, « Cessa di piu resistere ». 

    Pour ce nouveau récital, il est rejoint par la jeune soprano russe Aida Garifullina. Formée en Allemagne et à Vienne, repérée à Londres en 2012 par Valery Gergiev, elle débute sa carrière au Mariinsky en Susanna des Noces de Figaro puis Gilda de Rigoletto et Adina de L’Elixir d’amour. 

    Depuis, son succès au concours Operalia et ses apparitions couronnées de succès à l’Opéra de Vienne où elle est actuellement en résidence, affolent la planète lyrique. Elle fera ses débuts à l’Opéra de Paris un mois avant ce récital dans le rôle-titre de Snegourotchka de Rimsky-Korsakov. La bien nommée Aida est définitivement entrée dans la cour des grandes.