Agenda

    1. ( ténor )
    2. ( soprano )
    3. ( direction musicale )
    Programme :
    1. Adrianne Lecouvreur

      (
      prélude
      )
    2. Adrianne Lecouvreur

      (
      airs
      )
    3. Rigoletto

      (
      airs et duos
      )
    4. Don Pasquale

      (
      Ouverture
      )
    5. Don Pasquale

      (
      airs
      )
    6. Macbeth

      (
      airs
      )
    7. Elixir d'amour

      (
      airs et duos
      )
    8. Roberto Devereux

      (
      Ouverture
      )
    9. Somnambule

      (
      air
      )
    10. Arlesiana

      (
      air
      )
    11. Gianni Schicchi

      (
      air
      )
    12. La Bohème

      (
      air
      )
    13. Tosca

      (
      air
      )
    14. I Capuletti e i Montecchi

      (
      Intermezzo
      )
    15. Roméo et Juliette

      (
      airs et duos
      )
    CONCERT LYRIQUE : LE BEL CANTO, DE BELLINI A PUCCINI
     
    Les Chorégies d’Orange 2015 accueilleront pour leur 44ème édition des chanteurs prestigieux, comme à l’accoutumée. Mais pour nombre de mélomanes certains seront des découvertes. Si le ténor maltais Joseph Calleja n’est pas un inconnu puisqu’on l’entendit à « Musiques en fête en direct des Chorégies d’Orange », en revanche la soprano russe Ekaterina Siurina, précédée d’une belle réputation, fera sa première apparition à Orange au pied du mur du Théâtre antique. On entendra ces deux magnifiques interprètes entourés et soutenus par l’Orchestre National de Lyon sous la houlette du maestro espagnol Enrique Mazzola, grand connaisseur du bel canto et aujourd’hui directeur musical de l’Orchestre National d’Ile-de-France. Programme totalement italien dans la première partie, qui fera la part belle au bel canto des débuts du XIXème siècle avec des pages de solo et de duo de Donizetti extraites de Don Pasquale ou deL’Elisir d’Amore, de Verdi (air et duo de Rigoletto ou de Macbeth) et de Cilea (air d’Adriana Lecouvreur). En seconde partie, On retrouvera Cilea (L’Arlesiana) mais surtout Puccini avec des pièces tirées de Gianni Schicchi,La Boheme et Tosca pour conclure, hommage à l’opéra français, par trois pages de Roméo et Juliette de Gounod. Programme bien fait pour exalter la puissance vocale et l’«agilità » de cette « diva » et de ce « divo » comme les auraient qualifiés les « dilettanti » amateurs de  bel canto ! 
    Philippe Gut