Agenda

    HOMMAGE A DEBUSSY, les trois sonates 1917-2017 – 100 ans

    Dominique de Williencourt violoncelle
    Marielle Nordmann harpe
    Jean Ferrandis flûte
    Gérard Poulet violon
    Bruno Pasquier alto
    Emile Naoumoff piano
    Masato Matsuura Théâtre Nô, art traditionnel japonais

    Un hommage à Debussy, de ses sonates à l'adaptation pour le théâtre traditionnel japonais du Prélude à l'après-midi d'un faune

    Debussy 
    Sonate n° 1 pour violoncelle et piano, Sonate n° 2 pour violon et piano, Sonate n° 3 pour flûte, alto et harpe, Syrinx
    Prélude à l’après-midi d’un faune (transcription d’Arnold Schoenberg*), adaptation originale au théâtre Kyogen d’art dramatique japonais)
    * avec la participation de François-Xavier Bourin (hautbois), Pierre Génisson (clarinette), Tanguy de Williencourt (piano), Qiaochu Li (harmonium, cymbales antiques), Yuri Kuroda (violon), Florentin Ginot (contrebasse)
    Naoumoff Elégie pour violoncelle et piano
    Williencourt Sonate pour violon et piano op. 20 « L’attente », Sonate pour flûte, violoncelle et harpe op. 29

    Sur les six « sonates pour divers instruments » que Claude Debussy envisageait d’écrire, seules trois ont pu être créées. C’est autour de ces pièces maîtresses du répertoire de musique de chambre que Dominique de Williencourt, violoncelliste et compositeur inspiré, a réuni des amis-artistes, 100 ans après, quasiment jour pour jour. 

    Le 5 mai 1917, Gaston Poulet au violon et le compositeur au piano présentaient la sonate à la Salle Gaveau. C’est son fils Gérard Poulet, grand représentant de l’école du violon, qui leur rendra hommage avec Emile Naoumoff au piano, élève préféré de Nadia Boulanger. La harpiste Marielle Nordmann, envoûtera auprès de l’alto de velours de Bruno Pasquier et de la flûte du lumineux Jean Ferrandis. 

    Chacun de ces artistes de haut vol invite à une promenade impressionniste au fil du temps debusséen. Ils clôtureront ce concert au rendez-vous de l’histoire sur une chorégraphie originale du « Prélude à l’après midi d’un faune » par le grand maître du théâtre Nô, Masato Matsuura.